Bon, pas de frontière entre objet et sujet : reste à savoir que faire avec cette liberté ?
Pas de frontière entre microscopique et macroscopique : que faire avec cette liberté renouvelée ?
Comment concilier mathématiquement et physiquement ces "mondes" au demeurant "opposés" ? C'est bien une question récurrente pour le physicien depuis plus d'un siècle, non ?
En quoi cette question intéresse t elle le citoyen, l'honnête homme, l'humain en général ?
Il s'agit du "réel", de ce que nous percevons comme tel, de nos représentations du monde, de nos modes de pensée. Nous vivons tous enfermés dans ces modèles, ces cadres, ces mots qui nous enserrent, nous protègent mais nous laissent prisonniers de nos lâchetés et de nos peurs.
Ces cadres sont nécessaires à l'appui de tout raisonnement, de tout langage, de toute relation à distance de nos émotions, de nos sentiments.
Mais aucune loi de la nature n'oblige quiconque à ne pas sortir de tels cadres, à ne pas en expérimenter d'autres, incessamment, pour tenter de voir la réalité différemment, pour oser, pour mettre en avant notre audace, notre étincelle de vie, pour sublimer nos peurs et transformer nos lâchetés en courages d'être.
Non, rien, absolument rien ne nous empêche de voir, de regarder le monde qui nous entoure autrement que par les idées dominantes, les préconçus, les prémâchés, les présupposés.
Il suffit de le vouloir.
Là, maintenant.
On y va ?
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