lundi 22 février 2010

Relience I

Chaos et Imprédictibilité se termine sur un désir de se tourner vers le présent pour assoir nos convictions sur le réel.
La mort est une transition quantique , outre le fait qu'il illustre un univers déjà réalisé dans ses potentialités, nous ramène également à la saisie de l'ici et maintenant.
Le temps de la lumière..., nous invite à réaliser que l'étude des limites en sciences est féconde pour la représentation et la compréhension des phénomènes. En l'espèce, se confronter à la lumière (énergie sans masse) nous amène à la représentation d'une réalité comme des champs étendus sur l'espace-temps. Et immédiatement, à une vue hors de cette limite physique construite et validée. Et, par mise en abyme, à un mouvement permanent de connaissance grâce à la lumière !
Systèmes quantiques et frontières nous confronte à la nécessité d'accéder à un autre niveau de conscience pour nous représenter intuitivement la réalité telle que décrite par la mécanique quantique. Cet article nous pousse, en admettant la non séparation du réel, à envisager soit une torsion permanente dans l'analyse entre objet et sujet, soit la nécessité d'une connaissance sans distance, immédiate et fondamentalement holistique.
Quand l'imprécision..., met le doigt sur le déni fondamental de l'humain ( à savoir l'insoutenable incertitude de la connaissance à distance de la réalité) et saborde du même coup notre confiance scientifique en l'instant présent tout en nous invitant à puiser dans nos peurs et en l'amour pour tenter cette saisie du réel.
Quand le futur détermine...., nous confronte au principe de causalité et nous laisse entrevoir cependant que la science est apte à affronter ses propres paradoxes pour répondre à nos questions existentielles.
Echelles, Nombres et Perception nous laisse voir que in fine, cette dernière est reliée à l'affectif et que ce dernier semble seul capable d'embrasser la complexité.
L'ombre du savoir met en évidence la complémentaire dichotomie entre saisie et compréhension du réel (sorte de principe de complémentarité ?) par l'illustration d'une nécessaire expérimentation dissynchonique révélatrice d'une transmission et d'un désir.

Ainsi, en opposant/rapprochant deux modes d'appréhension complémentaires du réel (basiquement décrits en neurobiologie ou en psychologie par l'organisation bi-hémisphérique de notre cerveau : langage et analyse d'un côté et émotion et connaissance non verbale de l'autre) il est possible d'affronter les paradoxes de l'espace-temps dans lequel nous semblons vivre.

Développons...

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